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1 résultat trouvé pour onycroit

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Tag onycroit sur AF JÁRNI OG ÍS. QRU8Cj2Sujet: Now, gods, stand up for bastards. (markvart)
Invité

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Rechercher dans: PRÉSENTATIONS/SCÉNARIOS.   Tag onycroit sur AF JÁRNI OG ÍS. EmptySujet: Now, gods, stand up for bastards. (markvart)    Tag onycroit sur AF JÁRNI OG ÍS. EmptyJeu 2 Mar - 2:06



markvart lund
the white winds blow

ÂGE, LIEU DE NAISSANCE. ≈ Les démiurges lui ont accordé quarante-deux foulées en cette vaste existence, et l’on conte à travers landes qu’il aurait été bercé par Ull en personne ; un froid hiver des plus hostiles a accueilli sa naissance dans l'Adger, jetant à jamais sur l’héritier Lund un bien funeste présage d’astre frelaté par les ombres. La sapience du souverain vrombit encore du malheureux augure prononcé naguère par la völva, dont le sinistre verbe lui est resté gravé : Ne rêvez d’aucune chaleur, pour ce soleil-ci. LIEU DE RÉSIDENCE. ≈ C’est naturellement dans le ventre fécond de sa Solstheim que le Konungr gîte, régalant les appétits farceurs de la Solaire comme un amant éperdu. Si au domaine des Couronnés il loge, c’est dans sa citadelle toute entière que le patriarche rôdaille cependant, dragon veillant sur son trésor le plus cher sous couvert ou non de quelque anonymat. PROFESSION. ≈ Monarque ô combien décrié par les uns, encensé par les autres, le colosse a les pieds d’argile et ne le sait que trop bien. Il croyait pouvoir régner comme l’on guerroie, mais force lui est de constater que l’art de la gouvernance requiert une maestria lui étant tout à fait absconse. Alors en désespoir de cause ; il flambe. Son or. Son pouvoir. Son âme. STATUT FAMILIAL. ≈ Aîné au legs écrasant, il est le successeur dont l’illustre pater avait tant espéré de gloires. Dégrisement patenté pour feu Nordahl, son fils a l’aisance d’un warg pris au piège dans quelque cage tout de cristal bâtie. SITUATION MATRIMONIALE. ≈ Les draps grelottent tant la froidure de l’inanité sclérose leur étoffe. Ne perdure plus rien de la vive passion l’ayant autrefois uni à son Emma. Quid de la sacrosainte progéniture, alors ? Seule une attention malingre lui est cédée, de vagues œillades lancées aux minois familiers. En vérité, l’aura de l’épouse nimbe si bien les calots adolescents qu’il lui est laborieux de mirer en face chacun de ses enfants. C’est un supplice, vous avouera son cœur, car il lui semble plonger dans des fosses gouailleuses lui rappelant ce cuisant échec qu’est, entre autres déboires, son mariage. RANG HIÉRARCHIQUE DANS LE PEUPLE VIKING. ≈ Omnipotence impérieuse, il est dans les faits ce plus haut prédateur que le peuple norvégien puisse avoir. Bête insane se pourléchant le labre du délice que sont tous les excès, il a la gueule béante d’un monstre prêt à tout pour garder ses crocs vigoureusement plantés contre le trône de son aïeul. Las, son prestige est celui d’un roi fou dont les légendes ne sauvegarderont que son affligeant déclin. MANIEMENT DES ARMES. ≈ Môme aux rubigineuses suées, c’est à Skogkatt qu’on livra sa jouvence pour qu’auprès des meilleurs reîtres lui soit professée l’érudition martiale. Élève querelleur et insatiable ayant fait montre d’une pertinacité torrentueuse, il fit endurer aux instructeurs de la Svart Brotherhood un calvaire de tous les instants qu’ils s’éreintèrent à discipliner non sans infliger pléthore de châtiments bien sentis. Un ouvrage pour le moins réussi ayant transfiguré le jeune chien fougueux en un guerrier méthodique et aguerri, qui aujourd’hui encore porte envers la confrérie une estime sans pareil. DISTINCTION PHYSIQUE. ≈ Bel homme au charme ayant fait ses ravages, exsude néanmoins de ses ridules un harassement fangeux suppliciant toute once de douceur. À la mine patibulaire se sont joints des sillages de rides sur lesquels phobies incessantes et insomnies quinteuses trahissent leurs glaviots. D'aucuns subodorent qu'en la lagune de ses yeux nage le reflet de Jörmungand, créature versatile sifflant çà et là pour peu que l’on courrouce ou enivre son maître. CARACTÈRE. ≈ Belliqueux • Munificent • Péremptoire • Dilapidateur • Vindicatif • Auguste • Soupçonneux • Magnétique • Déphasé, voire sinoque • Tutélaire • Rogue • Superstitieux • Opiniâtre • Sybarite • Physionomiste • Pugnace • Rhéteur, quoique souvent grivois.


ALAS

ÂGE. ≈ Vingt-six berges. FUSEAU HORAIRE. ≈ Au chant du coq, levez baguettes. MULTICOMPTES. ≈ Que neni. COMMENT AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? ≈ On m'a salement appâtée (jor ARTÉ pour ne nommer personne), et puis j'ai cédé. Tag onycroit sur AF JÁRNI OG ÍS. 4012685939 TON AVIS ? ≈ Oh goody goody goody. Tag onycroit sur AF JÁRNI OG ÍS. 3260678891 Tag onycroit sur AF JÁRNI OG ÍS. 1125844044 Merci pour cette jolie perle. AUTORISES-TU LA MORT DE TON PERSONNAGE ? ≈ j'autorise les dés à faire mourir mon personnage/j'autorise le staff à ajouter mon personnage au registre des morts si je venais à quitter le forum/je ne veux pas que mon personnage meure. fallait pas me demander, the joke will be on you, c'est votre pevey. :stare: AVATAR. ≈ Michael Fassbender. CRÉDITS. ≈ Lux et tumblr. AUTRE CHOSE ? ≈ Soyez sport avec Mark, il est pas totalement chié, comme roi, erm. {#}onycroit{/#} Grumpy Cat


VALHALLA'S DOORS.
QUELLE EST TA POSITION PAR RAPPORT À TON JARL ET TON ROI ? ≈ Glauque sanie que celle du pouvoir. Elle vous coule dans le râble et corrompt toutes chairs sur son passage. Lui qui devrait se rire des bisbilles plébéiennes est le premier à grognasser lorsque celles-ci bondissent entre ses pattes. C’est qu’il est tourmenté, le Konungr, il a les nerfs roidis par l’angoisse du revers qui louvoie méchamment sur tous les faciès de son peuple. Les alliances autrefois passées se rompent ou se dilacèrent en ne laissant plus à l’arantèle de son autorité qu’un fibreux airain sur lequel, non sans aigreur, il se raccroche. Le vertige qu’est cette monarchie labile ne l’aliène que mieux encore et tronque son acuité passée pour ne rendre au trône qu’un irraisonnable suzerain. Sa fin, plus proche que jamais, précipite dans la vésanie la souveraineté des Lund.

EN QUOI FAIS-TU HONNEUR AUX DIEUX EN ÉTANT VIKING ? AS-TU EU À FAIRE DES SACRIFICES EN LEUR NOM ? ≈ La Voûte, si elle ne lui inspire aucune crainte, bâfre goulument tout son respect. Un égard fanatique de belliciste assermenté aux arcanes sibyllins. Il y croit, oui, à cette gestuelle providentielle qu’émettent les dieux en faveur de leurs champions, tout comme il présume avoir perdu depuis des lustres déjà leur sentencieuse inclination. Pourtant le roi n’en démord pas. Ce sont des rigoles de sang barbare qu’il offre continuellement aux ases et vanes, animales jusqu’alors, mais de plus en plus humaines ; tous ces félons que croit avoir décelé Markvart, il les sert au festin des dieux avec pour saucée sa dévotion d'acharné.

QUEL DESTIN PENSES-TU QUE LES DIEUX ONT CHOISI POUR TOI ? QUELLE EST TA PLUS GRANDE CRAINTE QUANT À TON AVENIR ? ≈ Entre deux risettes de squale faraud, il se ment. Tout le faste regorgé à ses gens ne saurait amollir le courroux des prééminents asgardiens. Odin a détourné son œil et rangé les augustes desseins que l’on aurait cru bon voir poindre dans la destinée d’un héritier Lund. Nonobstant cette déveine de guignard, perdre ce pour quoi on l’a forgé reste chez le monarque une hantise tout à fait inénarrable. Avant de devenir ce Draugr honni par le Valhalla, il se battra à la force de toute sa hargne ; quitte à précipiter avec lui son royaume, mais cela, c’est encore un tout autre désastre face auquel il reste décisivement aveugle.
BEHIND THE SHIELD.
I. Gigantale silhouette grondant aux flancs de son amphitryon, un plantigrade darde sur les visiteurs de la salle du trône ses agates enfiellées. L’ours, offrande diplomatique de quelque chef norrois, obsède depuis près de neuf hivers les clabaudages des ouailles. Cyclopéen et grinchu, on lui prête des parjures que le roi lui aurait offert à gueuletonner et sur les ossements desquels la bête sommeillerait. Au Konungr seul il semble vouloir obéir, délaissant couramment son immensurable tête hirsute sur l’accoudoir royal pour que les phalanges masculines s’y prélassent. N’est pas impossible qu’un ou deux rugissements menacent le quidam auditionné, si jamais le timbre du souverain gravit d’éréthisme. Il l’a baptisée Oda, car, oui, la terreur est femelle. II. Au sortir de la Svart Brotherhood, son paternel lui légua une Ulfberht forgée dans la ventraille de Skogen, héritage dont il grava de runes la solide et majestueuse lame. De ces circonvolutions, on ne distingue presque plus rien tant la saxe a fouaillé des bidoches et choqué des fers au fil des batailles, mais son acier de facture émérite a conservé malgré ses irrégularités un éclat féroce. Elle porte bien un nom mais, hormis le spectre de Nordahl et Markvart en personne, nul n’en connaît les syllabes. III. Mâle que la lutte embrase, il voue aux raids et conquêtes un culte irrassasié. Si la régence administrative fait de lui un ponte aussi malhabile qu’il ne peut être dubitable, épée au poing, le Lund retrouve son panache de seigneur de guerre. Toutefois, hauts faits d’armes et exploits passés chavirent dans l’oubli depuis qu’aux langskip il dénie sa présence pour mieux succomber à la toxine des cabales agitant son royaume. Une abrogation ankylosant sa flotte et ayant depuis plus d’un an amputé la trésorerie des opulentes recettes jadis amassées. La fortune s’effrite, chaque jour égrappée dans les pognes des briffauds de la capitale que le monarque croit enjôler. IV. Boniment pompeux que celui du couple suprême. Derrière corridors, les apparences tirent la tronche ; elle et lui ne se touchent plus depuis les dieux seuls savent combien d’éons. Morgue et désintérêt affouillent l’éros et renvoient secrètement la queue vers des couches clandestines qu’il empoicre éhontément. Des nymphes flavescentes, il n’en choisit cependant pas, encore trop idolâtre envers le peu de souvenances qu’il lui reste de la passion nuptiale consumée dans leur jeune temps. V. La reine. Maudite cent fois entre les crocs de l’époux. Épine dans l’orgueil phallocrate qui pisse cascatelles d’ichor chaque fois qu’elle le toise. Et quel regard ! Il fulmine, rauque son atrabile infatuée tel ce parfait connard que peuvent être les soudards à la fierté lésée. Maintes fois, l’Imbriaque aux pulsions tudesques a manqué forcer la rencontre de leur carne pour souper un plaisir trop longtemps défendu. C’est pourtant bien l’estime qui garrote pareille convoitise. La considération granitique que le mari porte à sa femme, cette femme, sagace, hiératique, autrement plus adextre que lui à l’endroit d’une gérance le rendant malade. Confesser pareille déférence serait exhiber à l’Autre l’infirmité d’une autorité déjà granulaire ; qu’on ne vienne néanmoins pas calomnier la souveraine jusqu’au montoir de ses esgourdes. Certains ne s’en sont jamais relevés. VI. La forfaiture d’Aldarik Wilhjelm a jeté sur les épaules du Konungr le poids d’un furieux qui-vive. C’est une psychose qui bouffit avec paresse mais ténacité, attisant on ne peut mieux les fièvres guerroyeuses du suzerain qui délègue à outrance les responsabilités étatiques. Son énergie ne se consacre plus qu’à l’étude militaire d’une guerre qu’il attend de pied ferme – non sans un certain plaisir démentiel et ahurissant, compte tenu de la sénescence amollissant sa cote de popularité. VII. Dix ans auparavant, un loeknir a sauvé sa vie et soigné la quasi totalité des balafres ayant charcuté son corps. Aujourd’hui l’on peut distinguer quelques esquisses éparses trahissant la boucherie pansée, des cicatrices bigarrées que des tatouages discrets emmaillotent avec piétée. Oraisons consignées pour remercier les démiurges et la lignée du praticien, à jamais dans les bonnes grâces du roi. VIII À l’exorde de sa parentalité rancie, une prophétie ronronne. Les balbutiements hachurés d’une völva lui ayant assuré la mort donnée par un fils dont l’acte renégat sera(it) engendré par rancœur. C’est cette sibylline typesse qui a planté dans le myocarde le carreau du doute ayant infecté la vision de Markvart ; Detelf n’a jamais été son enfant, mais un rival en devenir. IX. Ça lui prend comme une envie de pisser, ce fétichisme des signes et de toute goétie. Les rites et malédictions courent si bien dans son dos (du moins selon lui), que des transes paranoïdes l’ébrouent fréquemment dans le cadre privé. Les oracles ânonnés çà et là ont vite fait d’obturer chez lui toute acuité, de même que les visions équivoques alertent ses névroses. Son délire s’aggrave lorsque le centon de ses affects transsude d’épuisement et que la trombe des machinations pilonne la roche qu’est sa patience. X. Pour autant que puisse en moucharder son extrême prudence, crever n’est pas chez lui affaire d’épouvante. Quelques précautions routinières sont prises afin d’obvier d’éventuelles et grossières tentatives d’assassinat, mais rien qui ne puisse l’empêcher de fagoter sa magistrale carrure pour se livrer à l’effacement. L’anonymat est pour lui une panacée salutaire lui enseignant la quittance de l’humilité, bien qu’il lui faille pour ce faire musarder loin du palais, éclipsé sous capuche – et fermement armé. Un ersatz de liberté durant lequel il redevient homme parmi les hommes, sans chaînes ni coercitions, sans trône à perdre. XI. Rán et Njörd l’ont longtemps patronné. Fils de leurs flots sauvages, séide de leurs rages, les récits ont été jusqu’à supposer chez les Lund une parenté occulte avec les deux ases. Favori ou engeance, il est indéniable que sa pléiade de raids ait été flattée par de bons auspices, du moins jusqu’à ce que le navarque ne renie la baille et ne se claustre sur terre. C’est à Vidar, Thor et Odin qu’il dégueule à présent sa ferveur. XII. Cohorte d’esclaves, le troupeau singulier aguiche sa curiosité. Un à un, il les a tous larronnés à leur contrée et, un à un, il les a tous apprivoisés. Intraitable quant à l’indocilité mais d’une bienveillance saillante, la sollicitude qu’il leur confère dépasse de loin celle jetée à sa marmaille. Il est aberrant, ce tableau où l’on voit parfois le souverain jouer avec un enfançon de Captifs qui rit aux éclats sur ses genoux. XIII. À sept berges à peine, le môme tomba depuis une falaise pour se précipiter contre brisants. Il ne dut sa survie qu’au hasard l’ayant soufflé loin du plus proéminent écueil, mais sa jambe gauche souffrit de la commotion faite une fois roulé dans les vagues injurieuses et projeté contre rocailles. Il garde de cet accident une douleur cyclique revenant avec les longues périodes de pluie diluvienne frappant l'Adger. XIV. Mentor ayant cuirassé sa puînée, le frère a très tôt exprimé son envie de voir Moira embrasser la science martiale pour que sa flambée ne se meure point dans quelque dilettantisme de péronnelle. Valkyrie née, elle s’est engorgée de son savoir raflé à la Svart, et s’est embarquée sur langskip dès ses preuves faites aux entraînements spartiates prodigués par le suzerain. Soldate faisant sa fierté. XV. Biberonné très tôt à l’ambre de bière et fieffé épicurien capable de pinter litres sur litres d’hydromel, le roi ne demeure pas moins allergique à cette érubescente ambroisie prospectée par les nantis de ce monde. Intolérante au vin, sa tripaille rend immanquablement la moindre des gorgées qu’il aurait l’audace de siffler. Aussi à la cour, en présence du monarque, l’on évite de gobeloter cet alcool que le scandinave répudie âprement et qu’il compare à de l’urée de pourceau. Vexé, le briscard.
A WARRIOR IS BORN.

nombre de points à répartir : 32 points. (donnés par le staff)

force : ☑️☑️☑️☑️☐☐
vitesse : ☑️☑️☑️☐☐☐
agilité : ☑️☑️☑️☐☐☐
résistance : ☑️☑️☑️☑️☐☐
discrétion : ☑️☑️☐☐☐☐
stratégie : ☑️☑️☑️☑️☐☐
combat corps à corps : ☑️☑️☑️☐☐☐
combat armé : ☑️☑️☑️☑️☑️
manipulation : ☑️☑️☑️☑️☐☐


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